Séminaire « Nietzsche, les Grecs et la philosophie moderne »

par Ilias Tsimbidaros du 24 / 11 / 2005 au 29 / 06 / 2006, tous les quinze jours de 16 h 00 à 18 h 00.

Ce séminaire se tiendra à l’université européenne de la recherche, 1 rue Descartes, Paris 5ème.

Les thèmes de la volonté de la puissance et, notamment, celui de la valeur, font problème aujourd’hui dans le cadre d’un conflit d’interprétations affectant, d’une part, la compréhension des doctrines antiques et, d’autre part, le statut de la métaphysique. Ce conflit est à la fois lié à l’avenir de la pensée et à la juste compréhension des textes. Ceci se passe sur fond d’un retournement symbolique se traduisant par un appauvrissement de la fonction du mythe (de sa polysémie) et de l’emploi de l’allégorie qui se prête à des réductions, malentendus et déformations.

Un retour “renouvelé” aux Grecs représente-il, en ce sens, un remède au nihilisme de l’époque – au niveau de notre interprétation du “monde” au moins –?

Nietzsche, les Grecs et la philosophie moderne

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