“J’ai rencontré les doctrines de Nietzsche, qui sont comme une question préalable élevée devant tout travail de moraliste. Y a-t-il vraiment une morale ? Bien plus, est-il désirable qu’il y en ait une ? La morale, jusqu’à présent, n’aurait-elle pas fait plus de mal que de bien à l’humanité ? Voilà ce que Nietzsche demande.?Les loisirs que me laissait le séjour dans une ville d’eaux d’Allemagne m’ont permis de faire connaissance avec les livres du penseur allemand, et il m’a semblé que, comme moraliste, je devais en quelque sorte déblayer le terrain en ramenant à leur vraie valeur les objections de ce farouche immoraliste”. ??Alfred Fouillée
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