C’est à 26 ans que Nietzsche rédige ce teste dans lequel il met en place sa vision de l’art et du monde. Il y oppose le monde apollinien (le beau, l’apparence, le rêve), au monde dionysiaque (l’ivresse, l’oubli de soi, la vérité de la souffrance). Dans l’énergie et le rythme de son écriture, on retrouve son attachement au culte de Dionysos, dieu du vin, culte très répandu dans l’antiquité, culte du plaisir et de l’abandon, ancêtre du théâtre.
Lecteur : François Podetti