Dans La Guerre du Goût (1994) publié par les Éditions Gallimard, Philippe Sollers expliquait l’influence de Nietzsche sur son écriture : ” Je n’aurais, quant à moi, jamais pu écrire Paradis, Femmes, Portrait du Joueur, Le Cœur absolu, Les Folies françaises, Le Lys d’Or, La Fête à Venise, Le Secret, si je n’avais senti en permanence planer près de moi la main dégagée, active, cruelle et indulgente de Nietzsche”.
En 2006, il publie Une vie divine, dont la figure tutélaire est celle du grand philosophe. Philippe Sollers déploie, ici, dans l’intimité de la conversation une lecture philosophique vivante de Nietzsche.
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